Aversive stimulation is used as a means of increasing or decreasing the likelihood of target behavior. La stimulation aversive est utilisée comme moyen d'augmenter ou de diminuer la probabilité d'un comportement de la cible.
2.
This subjective component of pain involves conscious awareness of both the sensation and the unpleasantness (the aversive, negative affect). Cette composante subjective de la douleur implique la conscience de la sensation et du désagrément (affect négatif).
3.
This is different from aversive stimulation in that, for example, the alarm clock generates escape from the alarm, while self-punishment presents stimulation after the fact to reduce the probability of future behavior. Ceci est différent de la stimulation aversive dans la mesure où, par exemple, le réveil génère une évasion de l'alarme, tandis que l'auto-punition présente une stimulation après coup pour réduire la probabilité d'un comportement futur.
4.
However, in this same study, the conditioned place preference took place immediately after the injection of amphetamine, suggesting that it is the immediate, pleasurable interoceptive effects of amphetamine administration, rather than the delayed, aversive effects of amphetamine withdrawal that are represented within the insula. Néanmoins, lors de cette étude, le placement conditionnel a été testé immédiatement après l'injection d'amphétamine, ce qui suggère que ce serait l'effet intéroceptif plaisant et immédiat de l'administration d'amphétamine, plutôt que l'effet tardif du manque d'amphétamine qui serait représenté dans l'insula.
5.
Therefore, this concept is often excluded in definitions of pain in animals, such as that provided by Zimmerman: "an aversive sensory experience caused by actual or potential injury that elicits protective motor and vegetative reactions, results in learned avoidance and may modify species-specific behaviour, including social behaviour." Par conséquent, le concept d'expérience émotionnelle est souvent exclu des définitions de la douleur chez les animaux, on parle alors plutôt d'« expérience sensorielle désagréable causée par une blessure réelle ou potentielle qui provoque des réactions végétatives et motrices de protection, ayant pour résultat l'évitement appris et pouvant modifier le comportement spécifique de l'espèce, y compris le comportement social ».
